28/01/2013

Dejeune avec Charlotte et Bernard a Mexico !

Tant mieux pour elle, Florence. Vive la liberte. Je me revois en flasback a l'aeroport de San Francisco pret a partir pour Mexico City avec Harrie, le cousin d'un pote, en tant que garde du corps personel. On ne sait jamais la bas, me suis je dit ! Nancy n'avait toujours pas  compris le but de mon voyage a Mexico city. C'etait l'argent de ma part de l''heritage venant du deces de mon pere, apres tout. Je l'ai senti tres contrariee de mon depart en voyage. Je lui ai dit de ne pas s'inquiter. Mais je voyais bien que ce n'etait pas vraiment de ca qu'elle redoutait mon trip a Mexico. Le fait que Florence etait de sexe feminin peut etre ? Mon depart de la maison fut dur mais je ne me sentais pas coupable du tout. Je voulais rencontrer Bernard et Charlotte. Je voulais dejeuner avec eux. Je n'avais pas senti le temps passe que deja on commencait a atterir a Mexico City. Trois petites heures a peine de vol. Passages aux douanes assez amusants ma foi. Avec le passage au feux de la lampe. Cela ressemble a un bouton poussoir au milieux d'une petite colone de tube metalique chrome qui arrive a hauteur de la taille. Alors on attends son tour et je presse le bouton et la lampe bicolore rouge ( on vous fouille ), ou vert ou  vous passez sans vous arreter. Les deux fois que j'etais aller a Mexico city, deux fois j'ai eu le feux vert. Appeler un taxi, ce fut folklore aussi. Le gars qui nous a aborder dans l'aeroport pour nous proposer un taxi on nous disant de continuer a marcher jusqu'a la sortie du terminal pour trouver un vrai taxi, mais malheureusement seulement en apparance. Pour sur, le taxi c'etail le sien. Il n'est pas authorize a prendre des gens dans l'aeroport a mon avis. Bref, on le retrouve donc dehors avec une voiture toyata tercel 1989 faisant office de taxi. Une fois arrive a l'hotel le marchandage obligatiore sur le prix de revient de la course. Je crois que de $us 45 en bassant a 30. Mon garde du corps, Harry, etait a mes cotes. Hotel de standard chaine nordamericaine. Lits propres, atmosphere legerement tintee d'eau de javel. Je voulais boire un coup alors on est descendu jusque dans la rue pour trouver un magasin d'alimentation generale pour acheter quelques bieres fraiches pour la soiree. Le lendemain, j'etais convenu avec Bernard Cassez de dejeuner avec lui et Charlotte. On s'etait donne rendez vous devant le consulat de France. A pres coups de telephone et finalement leur arrivee devant le consulat dans la minute qui suivait mon dernier appel. Tout deux etaient de bonne humeur, moi aussi. Noous nous miment a marcher le voisinage en quete d'une table en terrasse d'un restaurant a l'apparence correcte. On cibla une table pour nous avoir seulement pour nous dire que le restaurant commence leur service a 13h30. Il n'etait meme pas 11h. Diable, plus de deux heures a attendre pour le service. Nous marchames ( ca se dit ?) dans le quartier que deja la conversation commencait. Je demandais a Charlotte si les medias avaient deja commencer leur campagne ravagante de propagande a la tele ? Dans un oui presque muet, me repondit elle ! Et vous, ca va ? Elle me dit que ca dependait, des jours, mais cela pourrait surement aller mieux si elle ne serait plus contrainte de penser a sa fille Florence. Harry marchait juste derriere, je me  sentais marcher comme sur une scene de theatre que tout le monde vous regarde. A present je me sentais quasi presqu'observe. Des voitures qui se  rangent et d'autres qui partaient.  Je voyais tout, le nomtre de personnes dans chaque voiture, leur coleur exterieur comme un film au ralenti. Tout un coup, il me semblait qu'une des personnes dans l'une des voitures me filmait ou prenait des cliches. D'autant plus qu'une fois arrive a leur ( la voiture), elle demarra en trombe et quitta sa place de stationement. Peut etre  mon imagination tournait a son comble ? Mieux faut etre prudent, n'est ce pas ? Harry portait sur lui, un spray aerosol lacrimogene pour les intrus. Nous arrivames a un des restos disponibles en service. Un aperitif pour chacun etait de rigeur sauf pour Harry. Il avait ramene sa propre bouteille d'eau. Il me regardait descendre ce pastis. Je voyais bien qu'il se souciait de moi. Il me disait laisse moi verifier les contenus des verres pour leur niveau toxique. Je nageais en plein roman policier. Harry ne voulait pas prendre de chance avec moi. C'est lui qui avait choisi la table pour notre "convenance" m'a t il dit ! Pendant que je parlais a Bernard et Charlotte, Harry quant a lui guetter les voitures qui approchaient, les gens qui marchaient sur le trottoir a cote de notre terrasse. Il avait ouvert les boutons de sa veste juste pour plus d'"aisance". Charlotte me demada d'ou j'etais en France. Elle me repondit qu'elle savait que j'etais de Roubaix sans attendre ma reponse. Bernard etait exceptionel dans son comportement. Un homme fort qui a tout compris tres vite. On commenda le dejeuner et je me souciens meme qu'on a vait pris une bouteille de vin rouge, peut etre deux. Je felicitais leur envoument. Que c'etait des parents exemplaires, ni moins ! Un repas, unique en sa maniere. Beaucoup de bonne energie de tous les cotes.  Me Berton arrivait aujourd'hui meme en fin d'apres midi de France. Donc apres un excellent dejeune, nous dumes venir a la douleureuse periode des au revoirs. J'ai serre Bernard tres fort dans mes bras en lui disant courage. Je fis a Charlotte une bise interminable. A la fin ,je lui dit merci et souhaiter bon courage. Que moi aussi je me joindrais a la bataille, en contribuant a ma maniere. J'avais promis. On m'a meme demander pourquoi je n'etais pas aller rendre visite a Florence lors de mon sejour a Mexico ? la vraie reponse est que je n'aurais peu la voir derriere des barreaux parce que je ne pouvais que la voir libre, sans barreaux d'aucune sorte. C'est ca la vrai raison et en plus au cas ou il fallait "monter" en pointe. Je ne voulais pas etre deja catalogue dans leurs fichus fichiers mexicains.  J'ai fait des manifs a ma maniere. Je vais essayer de retrouver les bandes videos de mes escapades politiques a propos de Florence a San Francisco. Mon producteur du temps doit les avoir en reserve chez lui, quelque part. Je dois commencer a faire mes recherches sur le front a moi des choses.

Et ce Genaro Garcia Luna, il ne perd rien pour attendre, cette grosse tache de lard ! J'ai pense a faire une emission parodie a son sujet, en lui faisant suivre un regime dragonien et des execices physiques : monter a la corde, saut en longueur, saut en hauteur, gardien de but. Je ris d'avance de ce pourri et tout filmer et poster sur youtube. Le pauvre, il se cache mais un gars comme lui ne pourra  pas se cacher longtemps. Vous allez voir. Le continent nord americain, c'est ma region. S'il est aux states, on le retrouvera, pour sur. 

Vivre libre et a plus, tres tres vite, c'est promis Phil.

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